LES ANNONCES DU MOMENTINTRIGUE AFRICA OYETOMBOLA

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Tag carreer sur L O V E (and other bullshit) 1457356542-nonewpetitSujet: once i was 7 years old
Tom Barlow

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Rechercher dans: Validés   Tag carreer sur L O V E (and other bullshit) EmptySujet: once i was 7 years old    Tag carreer sur L O V E (and other bullshit) EmptyDim 10 Avr - 18:27
TOMBARLOW
▸ ALEX LIBBY / GROUPE
Prénoms ⁞ Tom
Nom ⁞ Barlow, un nom que vous avez déjà entendu quelque part, sans aucun doute.
Surnoms ⁞ Tommy, TB, Barster
Âge ⁞ 22 ans, bientôt 23
Date de naissance ⁞ 21 juin 1993
Lieu de naissance ⁞ Liverpool
Profession ⁞ sportif professionnel (joueur de football pour l'équipe de Liverpool et d'Angleterre), accessoirement on le paye aussi pour de juteux contrats publicitaires.
Etudes ⁞ il a arrêté les études à 17 ans.

Etat civil ⁞ en relation libre avec une drama queen.
Orientation sexuelle ⁞ hétéro pour ce qu'il en sait, il n'a jamais été attiré que par les femmes
 
Ton premier baiser : cloé, on avait 8 ans, c'était ma voisine. elle se faisait embêter par un "grand" de 10 ans et après que je me sois retrouvé le nez en sang en voulant la défendre, elle m'a gentiment récompensé pour mon courage !
Ton premier amour : cloé, étonnant hein. on avait 15 ans quand on a commencé à sortir ensemble. mais je crois que dans le fond, j'étais amoureux d'elle depuis bien plus longtemps.
Ta première fois : j'avais 15 ans aussi, et c'était encore avec la même. c'était pas ultra romantique ou parfait. c'était juste comme ça devait être: pas très glorieux, mais plutôt drôle.
Ta première déception amoureuse : elle a décidé d'aller faire ses études à Londres et au début, ça fonctionnait plutôt bien à distance. on se voyait les week-ends. jusqu'au jour où elle m'a annoncé qu'elle avait rencontré quelqu'un. c'était un matin de décembre et il neigeait.
Ton premier râteau : jamais. true story.


Ta première cuite : j'avais 17 ans, c'était le soir de mon anniversaire. total black out. je ne me rappelais de rien. même pas d'avoir vomi dans mes chaussures. je vous laisse imaginer ma surprise en voulant les mettre.
Ta première clope : aucune idée, probablement quand j'avais 16-17 ans, j'ai essayé juste comme ça, mais je n'ai jamais vraiment fumé.
Ta première prise de drogue : je n'ai jamais essayé aucune drogue. à l'époque au centre de formation nous avions des tests sanguins assez régulièrement. et puis, même sans ça, ça ne m'a jamais tenté.
Ta première discussion avec des policiers : je m'en rappelle j'étais gosse, mon père conduisait et on s'est fait contrôler. ils m'ont demandé comment je m'appelais et ce que voudrais faire plus tard. j'avais répondu que je ne serais pas policier car mon père m'avait dit qu'ils étaient tous des cons. oui. ça ne les a pas fait rire. et mon père non plus.
 
Ton dernier baiser : Tout à l'heure, avant de partir à l'entraînement. Elle a les lèvres douces et savoureuses.  
Ton dernier amour : Helen, ma dernière petite amie en date. Ce n'était pas l'amour fou, mais c'était quand même de l'amour, pour le temps que ça a duré.
Ta dernière fois : ce matin. le sexe au réveil, y a rien de mieux.
Ta dernière déception amoureuse : Helen probablement, sans que ça ait été réellement douloureux, notre relation s’essoufflait, mais c'est toujours compliqué et décevant d'une certaine façon de réaliser que ça n'a pas marché.
Ton dernier râteau : toujours pas.


Ta dernière cuite : il y a quelques semaines.
Ta dernière clope : ça va faire plusieurs mois je pense, je n'ai pratiquement jamais fumé de ma vie.
Ta dernière prise de drogue : jamais.
Ta dernière discussion avec des policiers : il y a quelques mois, en voiture, je me suis fait arrêter pour excès de vitesse. par chance le policier était un fan de l'équipe de Liverpool et il m'a laissé partir en échange d'une promesse de lui envoyer des places pour le prochain match.
 

jour 0. Nous étions là tous les 4 quand maman nous a annoncé la nouvelle : nous devrions rester toute la semaine, c’était le dernier désir de notre père. Célébrer la shiv’ah. Il nous avait souvent parlé de ses origines juives, mais il n’avait jamais été un pratiquant assidu, au contraire, il ne nous avait jamais obligé à faire Shabbat, à aller à la synagogue ou à manger des produits respectueux de cette confession. Il était en fait un bien piètre juif, quand on y pensait, mais il était un emmerdeur de compétition, et même après sa mort, il avait trouvé le moyen de nous faire une dernière petite blague. Mon frère et ma sœur commencèrent à s’agiter mais notre mère décida de rester ferme, et elle s’adressa à nous avec autorité, comme si nous étions encore ces gamins de 10 ans qu’elle grondait. « Je me fous que vous travailliez ou que vous aillez des obligations. Votre père est mort. Et sa dernière volonté était que nous soyons réunis tous les quatre, une dernière fois, pour célébrer la shiv’ah et rendre hommage à son âme. » Lily et David se regardèrent un moment et j’en profitai alors pour prendre part à la discussion « Du coup… Y a pas un bordel comme quoi on ne doit pas avoir de relation sexuelle pendant toute la semaine ? » Demandai-je, provoquant chez ma mère un soupir d’exaspération alors que David se levait d’un coup « QUOI ? UNE SEMAINE SANS SEXE ? » s’exclama-t-il, et Lily se chargea de rétorquer avant que je n’ai pu le faire « Fait pas comme si tu n’avais pas l’habitude, Dave… D’ailleurs, il me semble que la shiv’ah demande également à ne pas se raser ou se couper les cheveux pendant trente jour. Pour toi Tom ça devrait aller, je suppose… » J’haussai les épaules avant de dévisager ma sœur « Tu vas avoir l’air d’une sacrée lesbienne avec des poils sous les bras »

jour 1. Des amis de la famille vinrent nous rendre visite. Chris, le mari de ma sœur, arriva dans la soirée. Ma mère ne cacha pas son agacement en le voyant débarquer. Elle n’avait jamais vraiment pu le supporter. C’était de sa faute si Lily avait quitté Liverpool. Elle lui en vaudrait probablement toujours, à tort ou à raison. Mais s’il y eut une seule chose sur laquelle elle se trouva avoir vu juste concernant Chris, ce fût qu’il était bel et bien un trou du cul de première catégorie.

jour 2. Dave tournait en rond dans la maison, il détestait autant que moi le fait d’être enfermé. Nous n’avions pas le droit de quitter le domicile familial et après seulement quarante-huit heures, nous commencions déjà à en avoir marre. Je me rendais chaque matin au sous-sol, ancienne chambre de David, pour faire de l’exercice, à défaut de pouvoir me rendre aux entraînements. « Il faudrait que je me remette au sport, » souffla mon frère vautré sur le canapé alors que je sautais à la corde. « Tu vois, j’approche de la trentaine et je commence à le sentir… M’man arrête pas de me dire que je ressemble de plus en plus à papa. On ne peut pas dire que c’était le mec le plus sportif du monde… J’crois que je vais devenir pareil, je vais me réveiller un jour et j’aurais du ventre, et ce sera trop tard, mais bon, P’pa au moins tu vois, il avait de la chance, il avait un travail qu’il aimait, une famille aimante, ce genre de trucs… Il pouvait bien se permettre d’avoir un peu de ventre, j’imagine… Il était heureux, » disait-il. Je détestais quand il faisait ça, et c’était bien ce pour quoi il était le plus doué. David passait son temps à se plaindre et à sa lamenter sur son sort tout en niant le fait qu’il était un véritable branleur. C’était toujours de la faute des autres. Je m’arrêtai, m’essuyai le front avec le bas de mon t-shirt et posai les yeux sur mon aîné « David, ferme-la, » soufflai-je, agacé. Il sourcilla, se sentant évidemment offensé par ma réplique. Oui, parce que David était incapable de mettre les choses en perspective. « Oh, évidemment, Tom, tout va bien pour toi alors qu’est-ce que t’en as à foutre que j’ai un boulot de merde et que je commence à avoir du ventre. AH ! ET MELISSA M’A LARGUE ! » Un silence s’installa après les derniers mots criés par David. Melissa l’avait largué. Tout était plus clair. « Merde. »

jour 3. Ma sœur et Chris avaient décidé de ne pas respecter les règles de la shiv’ah et je pouvais les entendre baiser de l’autre côté du mur. Fucking Chris.

jour 4. Helen pénétra dans le salon et illumina la pièce de cette lueur naturelle qui émanait toujours d’elle. Elle dégageait une forme de gentillesse et de bienveillance, elle était belle sans artifice. Elle salua tout le monde mais fut surprise de ne recevoir aucune réponse alors qu’elle s’asseyait en face de moi, « ça fait partie des règles… On ne peut saluer personne, » lui expliquai-je, et elle se mit à rire, se trouvant ridicule de ne pas l’avoir su. Elle prit mes mains dans les siennes et posa sur moi un regard enveloppant et incroyablement rassurant. « Comment ça se passe ? Tu veux que je reste ce soir ? » Me demanda-t-elle. Ma mère s’installa près de nous avant que j’ai pu répondre quoi que ce soit, « Ohhh ! Ça nous ferait vraiment plaisir que tu restes là ce soir, Helen. Mais le sexe est interdit pendant la semaine de la shiv’ah. Tom te l’a dit ?
- Maman…
- Et bien quoi ? Je préfère le rappeler, vu qu’apparemment ça n’a pas été intégré par tout le monde. » Silence. Lily et Chris haussèrent les sourcils sous les regards accusateurs de ma mère. Lily s’indigna et en profita pour quitter le salon. Suivie par ce trouduc de Chris.
« - Ils devraient avoir honte. Sept jours. Ce n’est rien sept jours, et ça n’est pas capable de se retenir pour faire honneur à son vieux père MORT.
- Maman. Ils essayent d’avoir un enfant. Arrête.
- Je suis sûre que c’est lui qui a un problème. Elle n’aurait jamais dû se marier avec lui.
- Peu importe.
- Mais toi, Helen, tu es la bienvenue bien sûr. Et je serais ravie que toi et Tommy ayez de beaux enfants. Mais pas pendant la semaine de la shiv’ah. »

jour 5. Chris et Lily se disputaient depuis plus d’une heure, il était tard, probablement deux heures du matin, et je me levai pour aller à la salle de bain, laissant Helen qui avait réussi à s’endormir malgré les nuisances sonores. Ma mère sortit de sa chambre au même moment et elle s’étonna de me voir en face d’elle. « Toi aussi tu n’arrives pas à dormir ? Tu voudrais boire une tisane avec ta vieille mère ? » Il y avait quelque chose de triste dans sa voix et nous descendîmes les escaliers pour nous installer dans la cuisine avec deux grosses tasses de thé. Elle n’était pas très bavarde, et ça ne lui ressemblait pas. « Ton père me manque, » se confia-t-elle après de longues minutes de silence.

jour 6. Helen se tenait devant moi, dans l’encadrement de la porte d’entrée, « C’est cool que tu sois venue…. Merci…. J’crois que ça m’a fait du bien de voir quelqu’un, parce qu’entre mon frère qui déprime, ma sœur qui s’engueule avec son mec et ma mère qui se mêle des affaires de tout le monde... » lui dis-je, et elle m’adressa un sourire. Je restai un instant là à la contempler et je me penchai pour l’embrasser sur la joue. « La shiv’ah se termine demain soir, alors… Je t’appellerai pour qu’on fasse un truc, » Helen pinça les lèvres avant d’articuler avec hésitation « Justement… à ce propos... Je sais que c’est pas vraiment le bon moment, mais… Fallait que je t’en parle et je pensais pas que… ton père, enfin… » je fronçai les sourcils en l’écoutant et décidait de la couper, « et tu pouvais pas attendre deux jours ?
- C’est juste que j’ai l’impression de ne pas être honnête avec toi,
- Je t’en aurais pas voulu, de pas être honnête, j’veux dire, j’avais pas spécialement envie d’honnêteté là tout de suite, j’avais juste besoin de penser à autre chose.
- Je sais, je sais, Tom… Mais… Il m’a mis la pression pour que je t’en parle au plus vite.
- Quoi ? De qui tu parles ? Tu vois quelqu’un d’autre ?
- J’suis désolée, je voulais pas que tu l’apprennes comme ça…
- Tu viens de passer deux jours avec ma famille et moi, et tu m’annonces qu’en fait tu vois quelqu’un d’autre,
- Oui, mais je tiens à toi, vraiment, c’était sincère,
- Va te faire foutre »
Je refermai la porte et trouvai ma mère en face de moi en me retournant. Elle pinça les lèvres et s’éloigna pour aller s’installer dans le salon avec Lily et David. Je les rejoignis dans le plus grand des calmes et des silences. Ma mère n’effectua aucun commentaire quant à la scène à laquelle elle avait assisté.

jour 7. Lily toqua à la porte de ma chambre et entra, elle s’installa au bord du lit et m’observa longuement avant de se mettre à sourire et de me frapper de son poing dans l’épaule. « C’était sympa, en fait… ça m’a fait du bien de vous revoir, confia-t-elle.
- Tu devrais revenir plus souvent, tu nous manques aussi.
- J’crois que si papa nous voit de là où il est, il a du bien se marrer toute la semaine.
- Tu m’étonnes… Sauf quand Chris était en train de te sauter.
- Mon Dieu… Désolée, encore…
- C’est pas grave.
- Alors toi et Helen ?
- Je vois que maman a répandu la nouvelle…
- Tu la connais.
- Je crois que ça lui a fait du bien de nous voir. Elle était chiante, comme d’habitude, mais elle avait besoin de ça, je crois… Elle va se retrouver toute seule.
- Tu seras là, toi. David, aussi.
- Ouais… Je serais là. »
HORS-JEU | Diktat/Elise ⁞ France ⁞ inventé ⁞ c'est encore moi, les chats ! et je cherche des liens, alors harcelez moiiii.

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