LES ANNONCES DU MOMENTINTRIGUE AFRICA OYETOMBOLA

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Tag rapide sur L O V E (and other bullshit) 1457356542-nonewpetitSujet: (rowan) + walk in the dark.
Rowan O'Lawlor

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Rechercher dans: Validés   Tag rapide sur L O V E (and other bullshit) EmptySujet: (rowan) + walk in the dark.    Tag rapide sur L O V E (and other bullshit) EmptyDim 27 Mar - 12:57
ROWANO'LAWLOR
▸ GRANT GUSTIN / FUCK-UPS
▶️ PrénomsRowan. Ce sont ses origines irlandaises qui ont fait qu'il ait ce prénom. Seulement, Row', il s'en fout. Pour lui, ça ne signifie rien, pour lui, il reste ce gars sans réelle identité. Il pourrait brûler sa carte d'identité, mais il a apprit qu'elle servait, cette carte.
▶️ NomO'Lawlor. Tu peux aussi l'entendre, cette consonance irlandaise. Son nom de famille, il le hait comme il haissait son géniteur. Pour lui, les O'Lawlor ne sont que des incapables, des connards. La peuvre en est : regarde-le.
▶️ SurnomsRow. Il se fait souvent appeler ainsi, c'est plus simple et puis, pour une fois qu'un surnom n'est pas ridicule, il accepte. Même s'il porte peu d'attention aux autres.
▶️ Âge23 ans. Ces années pourries qui embelissent sa vie font qu'il est cette personne aujourd'hui. Années de souffrance, années dures mais surmontables.
▶️ Date de naissance21 juin. C'est le commencement de l'été, les oiseaux, la lumière, sauf qu'il n'est rien de tout cela. C'est le froid, la distance, le mal.
▶️ Lieu de naissanceIrlande, Dublin. Cinq années passées là-bas avant de venir ici. Tu n'as jamais été tenté de bouger, rencontrer le reste de ta famille. Pour la simple et bonne raison que tu les hais.
▶️ ProfessionTatoueur. Il frotte cette aiguille contre les peaux, pour cette cicatrice, pour ce dessin tant voulu. Membre d'un gang. Le rapide, le vif mais le malade dès qu'il voit le sang des victimes.
▶️ EtudesEtudiant en langues. Ses études, il les a arrêté brutalement. Il avait le cerveau, mais pas l'envie. Il a tout arrêté et est vu comme ce simple tatoueur, désormais. Ses parents s'en foutaient de son parcours scolaire, royalement. Il suffit de voir quel genre de parents il avait, on comprend vite. Irresponsables, saouls, shootés, ce genre de parents. Des camés.
▶️ Etat civilCélibataire. Il n'a jamais été en couple; il a utilisé des filles pour arriver à ses fins mais jamais il n'a aimé quelqu'un de cette manière. C'est un bâtard. Il a certainement gardé ce côté de son père. Encore un truc de prit chez son connard de paternel. Il sait qu'il en est un et cela l'amuse même. Ouais, il en faut peu pour l'amuser, le gars.
▶️ Orientation sexuelleBisexuel. Il a déjà couché avec des filles ainsi qu'avec des gars et il se trouve que ça ne le dérange pas. Au contraire. Il fut un temps où il ne s'assumait pas bisexuel, puis il s'est rendu compte qu'il n'en avait rien à foutre et qu'il le veuille ou non, il l'était. Son père n'a pas apprécié et la vie était dur chez-lui, jusqu'à ce qu'il se casse quand son père a été emprisonné.
 
❤️ Ton premier baiser : C'était quand il avait dix ans. C'était ces défis à la con en primaire, la guerre filles/garçons. Un gars l'a défié d'embrasser une fille de ta classe et il l'a fait. Elle l'a frappé, mais il l'a fait. Ensuite, il a commencé à coller sa bouche sur tout le monde dès ses seize ans. Il trouve que cette action ne représente rien, c'est comme se coller la main, ce sont des lèvres au lieu des mains, mais c'est pareil. Pour lui, ça n'a aucun sens, aucun impact. Il pourrait embrasser un(e) inconnu(e) dans la rue juste pour se foutre de leurs gueules.
❤️ Ton premier amour : C'est simple : il n'en a jamais eu. Il n'a jamais aimé personne, préférant rester sur le côté. Il ne s'approche que des autres pour avoir ce qu'il veut, il se sert des autres, souvent. C'est sa gueule d'ange qui vous fera douter mais il en est bien capable. En fait, ça fait partie de lui, il traîne avec les autres, les mauvais et pour lui, c'est comme normal de faire ce qu'il fait. Pour lui, c'est normal de ne pas aimer les autres, il ne suit pas le mouvement.
❤️ Ta première fois : Il avait seize ans. Il n'aimait pas la fille mais il a juste voulu se débarrasser de ce titre de puceau aux yeux de ses potes, montrer que c'était un mâle régnant qui pouvait se taper toute sa classe s'il le voulait. Seulement, il a juste couché avec cette fille, elle était bien, physiquement parlant. Il n'a pas cherché à la connaitre, elle était d'accord. Des rumeurs disaient qu'elle l'aimait bien, Row. Le garçon mystérieux, le gars mauvais de la classe comparé aux autres, celui qui ne parlait pas de sa vie.
❤️ Ta première déception amoureuse : Il n'en a pas eu, puisqu'il n'a même pas connu l'amour encore. C'est un peu le débutant niveau amour. Il ne sait pas ce que cela fait d'être mal à cause d'un ou d'une débile. Il ne veut pas paraître faible aux yeux des autres car il s'est attaché à telle ou telle personne. Le gars, il aimait même pas ses parents alors imagine le truc.
❤️ Ton premier râteau : En primaire, à ses dix ans, si on peut appeler ça un râteau. Il a embrassé une fille de sa classe et de toute grâce, il a reçu une claque dans sa gueule comme il faut. Ouais, à dix ans, il avait déjà raté sa vie.


Ta première cuite : C'est à ses seize ans, toujours et encore. Il avait été invité à cette soirée, tout le monde pensait qu'il allait ne pas venir, qu'il allait traîner seul dans les rues, seulement, il est venu, avec un sourire angélique sur ses lèvres. Il est venu pour la bouffe, les boissons et peut-être même les filles. Il n'assumait pas encore son côté bisexuel, il n'allait pas se mettre à coucher avec un garçon à une fête étudiante. Il a abusé de l'alcool et il l'a senti passé le lendemain quand il s'est réveillé dans la chambre des parents, qui ont fini par rentrer plus vite que prévu et que tout le monde était déjà parti. Sauf lui.
Ta première clope : C'était quand il avait dix sept ans, en soirée. Il a toujours vécu dans cette fumée qu'il trouvait irrespirable et puis, il s'est mit à la fumer, cette clope. Pour suivre le mouvement, pour ne pas sembler con devant les autres fumeurs de la salle.
Ta première prise de drogue : C'est aussi à cette soirée, quand il était âgé de dix sept ballets. Il a réellement suivi le mouvement, jusqu'à fumer de la drogue, se tuant de l'intérieur.
Ta première discussion avec des policiers : C'était quand il avait seize ans et qu'il s'amusait à faire des conneries dans les rues. Il a tagué certains murs, il a cassé ces vitres de voitures et un jour, on l'a surpris entrain de taguer des insultes sur la façades des murs, près de son lycée. Il s'en est sorti.
 
❤️ Ton dernier baiser : Certainement ce matin, pour faire chier un couple. Ou hier, lorsqu'il s'est amusé avec cette personne, dans son lit. C'gars, il embrasse trop de monde, c'est désespérant.
❤️ Ton dernier amour : Il n'en a toujours pas eu. Espérez pas, ça n'arrivera pas de si tôt. L'amour, c'est con, c'est faible, pour lui. Il ne s'attache pas et reste distant, le plus possible, de préférence.
❤️ Ta dernière fois : Hier. Avant hier. Et les jours précédents. C'est un petit con qui couche avec tout ce qu'il croise, pour les utiliser, les avoir dans leurs poches. C'est toujours utile, on le lui a apprit.  
❤️ Ta dernière déception amoureuse : Il n'en a pas eu. Jamais. Il s'amuse à voir les gens mal à cause de cela mais n'en a toujours pas vécu.
❤️ Ton dernier râteau : Tu as vu sa gueule ? La question c'est : Est-ce que tu peux vraiment foutre un râteau à un gars comme lui ? Même une femme mariée avec des enfants pourrait lui dire oui. Alors, les râteaux, il les emmerde.


Ta dernière cuite : Hier. Il en crève de mal à la tête, mais on vit avec, comme on dit.
Ta dernière clope : Y'a même pas quelques minutes. Il fume de temps en temps, mais se fume plusieurs clopes par jour.
Ta dernière prise de drogue : Hier. Quand il était à cette soirée pour vendre sa drogue et être payé. Les affaires du gang, il les respecte. Il ne prend pas dans les affaires du gang sans payer, mais il va prendre ça chez les autres, c'est gratuit.
Ta dernière discussion avec des policiers : Il y a certainement une semaine de cela. La police le connaît, mais pour de petites affaires, ils ne savent pas ce qu'il fait secrètement. C'est le gamin sans parents, l'orphelin. Sans famille.
 

(seize ans.) tu passes l'encadrement de la porte, tu sens déjà la tornade arrivée, tu sens la violence qui se prépare à la maison, tu sens cette odeur d'alcool qui ne t'as pas encore crever l'odorat, ces paquets de clopes et de bières dispersés dans tout les coins de la maison, tu sens, tu entends, les cris de tes géniteurs. tu sens l'ambiance aussi pourrie soit elle de ce que tu appelles famille devant les autres, mais qui n'en est rien. tu as cette image de la famille qui est différente des autres : tes parents t'ont eus très tôt, ils n'ont pas pu se débarrasser de toi, ils regrettent, t'es pas un enfant voulu, t'as ruiné leurs vies, ils ont ruinés la tienne, ils se gueulent dessus, se frappent, se droguent et boivent plus qu'un adolescent à une fête par heure. c'est dingue, c'est ton enfer et tu arrives à le surmonter.

tu sens cette main, cette force, attraper ton haut et te pousser plus loin. ton cher père. tu fronces les sourcils et ne répliques pas, tu sais que ce n'est pas la solution, tu sais que c'est une mauvaise idée. tu ne veux pas d'une énième guerre. « bah oui, vas-y, pousse-moi, j'dirais rien. » tu jettes ta veste sur le canapé quand il vient te pousser de nouveau, en réponse à tes mots.  « me parle pas comme ça, gamin. ou tu vas le regretter.» tu roules des yeux, ces menaces, tu les entends quotidiennement, c'est lassant. t'es un gars blasé à cause de tes parents et du fait de vivre dans de telles conditions.  « je devrais avoir peur ? tu vois, ça va pas être le cas. j'ai pas peur des incapables et gros cons dans ton genre. » tu n'as jamais compris tes parents, tu n'as jamais compris pourquoi ils t'ont gardés, ils auraient pu te donner à un orphelinat mais comme des doués, ils t'ont gardés. ils t'ont donnés cette vie pour te la pourrir bien comme il faut. ton paternel pose sa canette et écrase sa cigarette avant de te foutre la baffe de ta vie, enfin, une parmi tant d'autre. sur le coup, ta tête se penche suite à la force utilisée. ta mâchoire se serre et fièrement, ton regard se pose sur lui. tu lui montres que tu n'as pas mal, que ses coups ne sont rien, qu'ils ne t'atteignent pas. jamais.  « salopard. » tu lui grognes ça avec tant de haine qu'on sent que tu as envie de lui fracasser le crâne sur le coin de la table, encore et encore. malheureusement pour toi, tu ne peux pas. tu ne supportes pas la vue du sang et rien que de le faire, ça te rendrais malade. très malade. t'esquives le deuxième coup de ton père en faisant un pas en arrière, ta mâchoire se serre à nouveau. tu viens le pousser fortement pour te casser. t'as pas la force d'une mouche, t'es capable de pousser ce tas de conneries pour t'en aller.

▶️ (seize ans. p'2) tes avec ces gars louches dans un parc, il fait sombre, personne ne passe si ce n'est qu'un vieillot avec son chien. tu prends la clope qu'on te tend et tu te l'allumes, les yeux rivés devant toi. tu ne parles pas, ils se marrent et toi, tu restes là. figé. « eh! row! » ta tête se tourne vers le gars qui t'interpelles, tu hausses un sourcil te demandant ce qu'il te veut. ce ne sont pas tes amis, juste des pigeons avec qui tu traînes. « tu nous accompagnes ? » tu ne comprends pas où il veut en venir car tu n'as rien suivi à leur conversation. « où ? » un sourire se dessine sur ses lèvres, loin d'être innocent, ce sourire, d'ailleurs. « s'faire d'l'argent, du con. on joue pas aux cartes, ici.» tu hoches ta tête et suis la bande d'amis - de pigeons, pour toi, spécialement -. c'est quand tu comprends leur plan que tu commences à retrousser chemin, seulement, à cet âge, t'es vite dans le feu de l'action. ils te forcent à rester et tu vois cet homme se faire tabasser pour un simple porte-feuille. seulement, ce que ces pigeons n'avaient pas prévus, c'est les alentours. t'entends les flics arriver et tout ce qu'ils font, c'est fuir. tu fais pareil, tu cours. t'es le plus rapide de tous et pourtant, c'est toi qui te fais choper quand les gars te bloquent et te font tomber. ces lâches. tu n'as même pas touché l'homme et tu te fais choper. connerie sur connerie. et toi, tu as fini par donner tout les noms, un par un. t'as été sonner aux portes avec les flics et t'as souris à ces petites tafioles. on ne te fait pas ce coup, t'es déjà assez dans la merde comme ça. tu peux tout aussi être un salopard qu'un bon ami et acolyte. là, t'as été le salopard.

(dix-huit ans) tu rentres chez-toi, rien n'a changé, c'est toujours aussi merdique dès que tu passes cette porte, ta vie n'est que misère, encore. tu persistes, t'en as marre, mais tu continues d'avancer avec ces deux imbéciles de parents. tu rentres et tu entends d'énormes cris, t'entends que c'est mal, vraiment mal. tu entends des objets tombés des étagères, tels que des cadres, des vases, des bouteilles. tu fronces les sourcils et refermes la porte derrière toi, histoire de ne pas partager vos drames avec tout le voisinage. tu entends ta mère gémir, ouais, ta mère. la seule personne que tu as apprécié durant ta vie car elle supportait ton con de père. et là, tu assistes au spectacle. tu vois ton père attraper ta mère et la frapper. « hey hey hey, stop ! arrête putain ! » ton père ne fait même pas attention à ce que tu dis et il vient, de nouveau, la cogner. tu assistes à cela et tu te rends compte de ce que c'est, ici. tu te précipites sur ton père pour qu'il arrête, mais tu te prends un bonne patate et tu te cognes la tête la tête contre le sol, brusquement. t'es sonné. sauf que cela ne suffit pas à ton père pour qu'il arrête. il vient attraper la bouteille de verre d'un alcool inconnu et l'écrase sur le crâne de ta mère. tu entends le verre se casser, mais tu ne peux rien faire.

c'est le lendemain que tu te réveilles dans ce lit d'hôpital, tu t'es cogné la tête et tu t'es blessé. résultat, ils t'ont emmenés ici. qui, tu n'en sais rien, sûrement pas ton paternel.  plus tard, t'as appris qu'il a été emprisonné. t'as été heureux de le savoir. seulement, t'as moins apprécié quand tu as appris le décès de ta mère.

▶️ (vingt ans) tu rejoins le gang. bon ou mauvais choix, tu y es. tu restes distant. ils sont là, t'es avec, réunis en tant que trafiquants de drogues et de tatoueurs dans un même temps pour vous faire une couverture. t'as arrêté tes études dès lors que ton père a été enfermé et que ta mère fut décédée. tu as commencé vendre de la drogue, histoire de te faire de l'argent et mew est venu, créant le gang, t'en fais parti, entièrement. t'es ce gars trop maladroit et fragile à la vue du sang, mais t'es aussi ce gars rapide et vif, trop rapide et trop vif, d'après toi. t'es mal, parfois. t'es mal quand tu les vois torturer d'autres gens, ceux qui ne payent pas à temps, ils saignent et tu ne supportes pas cela. tu tombes malade. t'es sensible à la vue du sang, beaucoup trop et depuis gosses. ensuite, tu es vu comme le plus faible du gang. tu te mets dans la merde, tout le temps. tu sens que tu n'es pas comme eux, pas fort mentalement parlant, t'es pas crédible et pourtant, tu restes là car c'est la seule solution. c'est ton gang. tes semblables pas si semblables que ça.

(vingt-trois ans) toujours dans l'gang, ils ne t'ont pas encore lapidés. ton père est toujours enfermé, sans argent pour se payer un avocat et d'après ce que tu as entendu, il ne veut pas sortir de là. il s'en veut. tu n'y crois pas pour un sous, tu sais qu'il veut sortir et qu'il manipule les autres pour sortir de cette manière. de toutes manières, ils auront besoin de ton témoignage et tu le laisseras pourrir de cette cellule jusqu'à la fin de ses jours. tu le regarderas crevé bien comme il faut et tu brûleras son cadavre sur une place pour montrer aux gens toute la haine que tu éprouves à son égard, même mort. ils t'ont vidés de tout ton être, ton coeur et même ta façon de penser en a prit un coup à cause d'eux. t'es pas un gars bien, tu ne le seras jamais.

t'es pas un gars bien. ils le sont pas. vous êtes mauvais.
  
HORS-JEU | md., Pauline ⁞ Belgique ⁞ Pré-lien de Mew ⁞  Tag rapide sur L O V E (and other bullshit) 2238743702  Tag rapide sur L O V E (and other bullshit) 495916850


©️ LOVE (AND OTHER BULLSHIT) / 2016
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