LES ANNONCES DU MOMENTINTRIGUE AFRICA OYETOMBOLA

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Tag smart sur L O V E (and other bullshit) 1457356542-nonewpetitSujet: dirtbag
Alric Doyle

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Rechercher dans: Validés   Tag smart sur L O V E (and other bullshit) EmptySujet: dirtbag    Tag smart sur L O V E (and other bullshit) EmptyLun 28 Mar - 15:28
ALRICDOYLE
▸ boyd holbrook / lone rangers
▶️ Prénoms ⁞ Alric.
▶️ Nom ⁞ Doyle.
▶️ Surnoms ⁞ On ne lui prête aucun surnom, certains l’appellent par un diminutif. Al, Ric. Il ne faut chercher aucune marque d’affection sous ces diminutifs, juste celle de la fainéantise de l’être d’humain d’articuler deux syllabes.
▶️ Âge ⁞ trente ans.
▶️ Date de naissance ⁞ Un jour en Mars, entre le premier et le trente-et-un mars.
▶️ Lieu de naissance ⁞ Cork.
▶️ Profession ⁞ Durant plusieurs années, il a officié dans les rues ; ils le disaient chanteur, artiste de rue. Aujourd’hui, il est planqué derrière un piano, à l’ombre de tout regard, dans l’indifférence la plus complète de tous, dans un restaurant où les cols blancs viennent se gargariser au vin rouge français et se remplir la panse.  
▶️ Etudes ⁞ Il n’a pas été fichu d’aller plus loin que le lycée : aucune perspective d’avenir disaient certains. Il a juste conçu sa vie autrement.
▶️ Etat civil ⁞ célibataire.
▶️ Orientation sexuelle ⁞ hétérosexuel.
 
❤️ Ton premier baiser : – Ceux de l’époque de l’enfance ne compte pas, ce n’est pas du jeu autrement. Mais, je dois reconnaitre qu’au petit jeu de celui embrassera (ou plutôt, à l’époque cela consistait juste à poser ses lèvres sur celles d’une fille) le plus de filles, je battais toujours Siméon. Le premier, le vrai, le maîtrisé, j’avais quatorze ans.
❤️ Ton premier amour :  – Je ne l’ai jamais connu. On parle d’amour, au sens fort du terme,  pas d’une quelconque relation intime avec une femme. L’amour, je ne l’ai jamais vécu, je ne l’ai encore moins ressenti. Tu sais, je n’ai jamais dit je t’aime, est-ce que ça fait de moi un sale de type ?
❤️ Ta première fois : – J’avais quatorze ans. Les yeux grands ouverts dans le noir, cachés sous la couverture, l’appréhension, l’excitation, on pense aux grands frères qui l’ont fait avant nous et on se dit connement que l’on est devenu homme.
❤️ Ta première déception amoureuse : – Je… euh non. Tous ces concepts amoureux, moi, tu sais, ça m’échappe. Peut-être qu’un jour, je comprendrais tout ça. Peut-être qu’un jour j’aimerais, qu’un jour je te dirais putain, mec, je l’aime. Peut-être qu’un jour, je serais déçu. Peut-être. Mais ce jour-là, je ne l’ai pas connu.
❤️ Ton premier râteau : – Au lycée, la plus jolie fille du lycée  a refusé d’être ma cavalière pour le bal de fin d’année. Quoi, attends, ça ne compte pas ça ?


Ta première cuite : – Lors des premières ‘booms’ – je te jure, j’ai l’impression d’un vieux réac à prononcer ce mot, mec – avec les copains, en cachette, pour ne pas se faire prendre par le parent qui nous surveillait. Je pense qu’on se serait pris une rouste, à l’époque.
Ta première clope : – Vers quatorze ans. J’avais volé un paquet à l’un de mes ainés, les parents étaient absents, personne n’a rien su.
Ta première prise de drogue : – Franchement ? … Bon, d’accord, j’avais dix-huit ans, mais c’était juste pour « essayer ».
Ta première discussion avec des policiers : – J'étais enfant, un agent était venu à l'école.
 
❤️ Ton dernier baiser : – Il y a quelques jours.
❤️ Ton dernier amour : – Le premier sera le dernier.
❤️ Ta dernière fois : – Il y a quelques jours.
❤️ Ta dernière déception amoureuse : – La première sera la dernière.
❤️ Ton dernier râteau : – Aucun, sauf si tu considères qu’une nana qui refuse de prendre un verre avec toi dans un bar en est un. Je te jure, je ne voulais même pas la percho, je voulais juste discuter.


Ta dernière cuite : – Des années que je n’ai pas pris de cuite.
Ta dernière clope : – Il y a quelques heures.
Ta dernière prise de drogue : – Il y a quelques mois.
Ta dernière discussion avec des policiers : – Hier soir, sur le trajet du retour, un test d’alcoolémie.
 

– Sa vie aurait pu être ainsi : planqué derrière un bureau, une vie de famille bien rangée. C’est ainsi que papa et maman avaient dessiné sa vie. Des dizaines, des vingtaines d’années de vie dessinées et pensées. Mais, il en a décidé autrement. Préférant la vie d’errance. Il est atterri à Liverpool, quelques années après avoir quitté le chemin d’une vie toute tracée. Il n’avait pas encore vingt ans. Il a parachuté dans le cœur de cette cité à tout hasard. Ca aurait pu être Londres, Paris, Dublin, New-York et non Liverpool. Il vit au jour le jour, ne se souciant aucunement de ce que demain sera fait. Carpe diem. Il n’a jamais cherché à contrôler sa destinée. Il laisse sa destinée contrôler pleinement sa vie. Il n’a, d’ailleurs, jamais cherché à entrer dans une case qui répond à notre fichu société. Il est cet électron libre, qui gravite librement. Il est libre, il est bohême, un peu artiste.  –Il n’a jamais dit qu’il vivait de sa passion, sûrement par modestie. Il a une grande culture et sensibilité musicales, il est un enfant du rock. Il a longtemps donné de la voix au cœur de la ville, muni de sa vieille guitare folk. Il ne l’a jamais fait pour l’aumône. Juste pour le partage, celui de la musique. Aujourd’hui, il a laissé de côté sa guitare pour un piano à queue (qu’il n’aurait jamais eu les moyens de s’offrir). Il joue au bon vouloir du gérant et souvent de celui des clients du restaurant. Il joue, mais personne ne l’écoute, bien trop occupé à converser et à se goinfrer. Il est dans l’ombre. On ne le remarque pas. – Il peut paraitre détaché, voire désinvolte au premier regard.  Il se moque bien de ce que l’on peut penser de lui, de ce que l’on peut dire sur lui. Il s’en moque. Il est peu soucieux de son image. Il est bel homme, pourtant il n’est pas de ceux qui mettent en avant leur physique avantageux – mais on ne sait même pas s’il a conscience de cela, conscience d’être bel homme. Il porte de vieux vêtements (parait-il que ce serait de mode, mais ça il s’en fiche bien, lui), de vieilles converses rouges et des chaussures en cuir noir usées lorsqu’il doit se rendre sur son lieu de travail. Ça lui donne cet air d’éternel adolescent. – Il n’est pas séducteur, préférant être séduit (sûrement parce que l’égo est flatté, qui n’aime pas être séduit ?). Il fréquente quelques femmes, mais il sait d’avance qu’il n’entretiendra qu’une simple relation charnelle avec celles-ci. – Il vit dans un modeste studio, rien de luxurieux, rien de miséreux. Vinyles et feuilles griffonnées à l’encre noire jonchent le sol. Son canapé, trônant au milieu de la seule pièce principale, lui fait office de lit et ça lui suffit bien. Il y vit seul. Pas de compagnie, il fait cavalier seul. – Il est calme et réfléchi. Il peut être taiseux concernant sujet. Il est fin observateur. Il peut parfois s’emporter, par colère.  On l’entend souvent dire f*ck pour une raison ou une autre. – Il y a bien une valeur à laquelle il tient : la famille. Malgré la distance, il reste proche d’eux. A chaque anniversaire de sa mère, il prend sa plume et lui écrit une lettre. Il porte une chevalière qui a appartenu à son grand-père paternel.
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